Oct 30, 2017 20:05
6 yrs ago
3 viewers *
English term

from below the line items

English to French Bus/Financial Finance (general)
Bonsoir,
texte financier:
Solid revenue growth, slightly improving margins despite accounting headwinds, and a bit of help from below the line items (higher interest and other income, share buybacks) should drive IT sector EPS growth of more than 15%.
Je ne comprends pas l'expression en objet.
Merci pour votre aide.
Laetitia

Discussion

Germaine Oct 31, 2017:
François, Depuis quand et dans quel pays les "produits d'intérêts" (interest), les "autres produits" (other income) et le rachat d'actions (share buybacks - qui s'effectuent d'ordinaire à la juste valeur) sont-ils des "postes/éléments hors bilan"?

Pour reprendre ta source, "le bilan ne peut enregistrer que des droits et obligations susceptibles d'évaluation monétaire et certaine". En quoi les revenus d'intérêt, les autres revenus et le prix payé/reçu (selon le cas) pour racheter des actions ne peuvent-ils pas être "évalués monétairement de façon certaine" et donc inclus au bilan?

Pour reprendre ta source encore, en quoi les intérêts, autres produits et produits/charges liés au rachat d'actions constituent-ils :
- des contrats de crédit-bail ?
- des instruments de gestion des risques de taux et de change ?
- des garanties données ou reçues ?
- des effets escomptés non échus ?

Je ne suis pas comptable, mais j'ai traité suffisamment d'états financiers pour être en mesure de distinguer un actif et un passif d'un "élément hors bilan". Comment se fait-il que TOI, l'Economic Geek, tu n'y arrives pas?

Proposed translations

-1
2 hrs

des éléments extraordinaires

Below-the-line items/below the line items : éléments hors-bilan, produits extraordinaires, charges extraordinaires
http://www.btb.termiumplus.gc.ca

poste extraordinaire
http://gdt.oqlf.gouv.qc.ca/ficheOqlf.aspx?Id_Fiche=26508922

élément extraordinaire
Produit, charge, profit ou perte résultant d'une opération ou d'un fait caractérisé par sa non-fréquence, c'est-à-dire qu'il n'est pas tenu pour susceptible de se répéter fréquemment au cours des prochains exercices, et par sa nature inhabituelle, c'est-à-dire qu'il n'est pas typique des activités normales de l'entité...
http://gdt.oqlf.gouv.qc.ca/ficheOqlf.aspx?Id_Fiche=500778

Comme les éléments mentionnés dans la parenthèse ne sont pas des éléments hors bilan, mais des produits et charges (comptabilisés aux résultats), j’ai retenu « éléments extraordinaires », qui m’apparaît le terme le plus neutre dans les circonstances :

Une solide croissance des produits, améliorant légèrement les marges malgré les aléas comptables, et un peu d’aide des éléments extraordinaires (intérêts et autres produits supérieurs, rachats d’actions) devraient entraîner une croissance de plus de 15% du bénéfice par action du secteur des technologies de l’information.
Peer comment(s):

disagree GILLES MEUNIER : postes ici
5 hrs
Tu veux dire, le terme qui apparaît bien en évidence au second paragraphe de l'explication? et qui n'invalide aucunement le terme "élément" ? Surtout que ce ne sont pas les "postes" qui offrent "a bit of help", mais ce qu'il y a dedans.
Something went wrong...
-1
2 hrs

postes hors bilan

Enjeux du hors bilan

Le bilan ne peut enregistrer que des droits et obligations susceptibles d'évaluation monétaire et certaine, la limite étant constituée par les provisions, incertaines dans la mesure où elles concernent l'avenir. Mais l'environnement s'est transformé rapidement et parfois de manière désordonnée, de sorte que les règles comptables classiques ne parviennent pas à rendre compte de certaines nouveautés ; il en est résulté un développement des transactions "hors bilan", atténué dans certains cas par l'inscription en annexe.

Démarche d'utilisation du hors bilan

Dans les normes internationales d'information financière (IAS/IFRS), les opérations hors bilan sont principalement visées par les normes suivantes :

IAS 10 « Événements postérieurs à la date de clôture »
IAS 17 « Contrats de location »
IAS 37 « Provisions, passifs éventuels et actifs éventuels »
Selon les principes français applicables aux comptes individuels des entreprises, les principaux engagements hors-bilan sont :

les contrats de crédit-bail (sauf traitement aux normes IFRS)
les instruments de gestion des risques de taux et de change
les garanties données ou reçues
les effets escomptés non-échus (sauf traitement aux normes IFRS, auquel cas les EENE sont réintégrés au bilan lors de l'établissement des comptes consolidés)1.
Dans les banques, la technique de gestion du hors-bilan a pris plus d’importance depuis les années 1990.

En effet, d’un côté, l’environnement concurrentiel les a obligées à rechercher de façon plus agressive des profits en s’engageant dans des activités hors bilan, comme :

la cession de prêts
les engagements de financement (lignes de crédit, autorisations de découvert pour les particuliers)
les garanties données sur des prêts
l’émission de titres adossés à des prêts hypothécaires
les opérations de marché du type swaps ou opérations à terme
D’un autre côté, l’environnement réglementaire a évolué pour tenir compte de l’accroissement du risque hors bilan généré par ces activités. Ainsi, les accords successifs de Bâle (ratio Cooke) et désormais de Bâle II (ratio McDonough) transposés dans nombre de législations nationales les contraignent à constituer des réserves en capitaux propres proportionnellement au montant de leurs engagements hors bilan. Parallèlement, l'adoption des normes IAS/IFRS se traduit par l'abandon du concept de hors bilan pour les entreprises listées sur un marché réglementé et pour celles qui émettent des produits de dette.

En France, dans le prolongement de la transposition des normes IAS/IFRS, les efforts de modernisation de la comptabilité nationale (notamment grâce à la Loi Organique relative aux Lois de Finance, la « LOLF ») conduisent l’État à tenter de mieux appréhender le montant de ses engagements hors bilan. Il s’agit notamment d’estimer le montant des garanties données aux établissements publics ou les engagements liés à l’assurance-vieillesse et à l’assurance-maladie qui augmentent avec le vieillissement de la population

Source: Wikipedia
Note from asker:
Merci beaucoup pour cette explication très claire (comme d'habitude d'ailleurs) !
Peer comment(s):

disagree Germaine : parce que les "higher interest and other income, share buybacks" sont des éléments qu'on ne peut évaluer de façon certaine? Il ne suffit pas de trouver une référence. Encore faut-il la lire et la comprendre.
1 hr
parce que chaque element fait l'objet d'un poste comptable hors bilan
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